👗 Vendre ce qu’on ne met plus permet gagner de l’argent 💸 (et d’économiser du CO₂)
Au secours, ma garde-robe déborde ! La situation t’est familière ? Alors tant mieux. Ce que tu ne sais peut-être pas, c’est qu’il n’y a pas que des vêtements dans ton armoire, mais aussi des milliers de francs et des kilos de CO₂. Il est grand temps d’en faire quelque chose. D’après mon expérience, cela en vaut la peine !

Par un dimanche après-midi pluvieux, je décide de me lancer : prenant mon courage à deux mains, je commence à faire le tri dans mon dressing. L’entreprise n’est pas si aisée. À chaque vêtement passé en revue, je me dis que je le remettrai un jour. Quoi qu’il en soit, voici la liste de ce dont je réussis à me défaire tant bien que mal :
- Un jean des années 70
- Un trench-coat classique
- Un sac à bandoulière Louis Vuitton
- Un t-shirt du groupe Muse
Les années 70 sont certes loin derrière nous, mais pour mon jean patte d’eph, la fête continue. Je lui offre une seconde vie tout en gagnant un peu d’argent. Sur Ricardo, des pantalons similaires sont mis en vente à CHF 50. C’est déjà ça. Le CO₂ économisé est tout de même conséquent : 20 kg. Est-ce que tu savais qu’une fois produites, les marchandises de seconde main n’émettent presque plus de CO₂ ? Le pantalon n’a pas besoin d’être fabriqué, emballé ou expédié par cargo. C’est là toute la différence entre un produit neuf et un produit d’occasion.
Tout cela me donne envie de continuer mon tri. Ah, mon trench-coat classique. Jolie pièce. Mais soyons honnêtes : quand l’ai-je porté pour la dernière fois ? L’étiquette indique tout de même Burberry. Il a donc de la valeur ! Les modèles similaires de cette marque sont vendus entre CHF 350 et CHF 1000. Tentons le coup à CHF 650. Son bilan carbone est également plus élevé que celui du jean : l’occasion nous permet ici d’économiser 74 kg de CO₂.
Puisque nous en sommes aux pièces de designers : le sac à bandoulière Louis Vuitton provient lui aussi d’une époque où j’attachais beaucoup d’importance aux marques. Je sais que beaucoup de personnes les apprécient. Alors, hop ! Sur Internet pour CHF 350. Et encore 18 kg de CO₂ économisés.
Un t-shirt en bon état me fait office de souvenir du concert de Muse en 2007 à Locarno. Il fera le bonheur d’un vrai fan. J’en tirerai CHF 20 en économisant 8 kg de CO₂.
Après le tri, il est l’heure de faire les comptes : les bénéfices attendus de la vente s’élèvent à environ CHF 1070. Les économies de CO₂ sont également impressionnantes : 120 kg.

Pourquoi vendre des vĂŞtements d’occasion ?
Le local avant le global : tel est le credo de l’occasion. Vendre tes vêtements d’occasion en ligne te permet de réaliser un double profit : tu gagnes de l’argent et tu réduis les émissions de CO₂.
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